Une première piste complètement défoncée …
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Cette fois, nous remonterons un cours d’eau sur quelques dizaines de mètres pour contourner un effondrement. De longs rubans de béton ont encore « mangé » les plus belles pistes du secteur ! Rhââââ !… Je l’avais constaté lors de mes précédents voyages. Après un déjeuner « rustique », nous nous engageons dans une nouvelle piste, d’abord large et blonde. Très vite elle se resserre et prend une jolie teinte rouge. Au bout d’une dizaine de kilomètres, elle se resserre encore et se transforme en un single. Le pilotage devient acrobatique et il est compliqué de retenir la masse conjuguée de la moto, des bagages et du pilote dans les descentes, vertigineuses et rainées par les passages répétés des cyclomotoristes locaux pour qui strictement rien n’est infranchissable. Quelle dextérité !
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Belle aventure que cette route ! c’est beau d’être jeune. C’est avec beaucoup de plaisir que je viens lire ces chroniques.
Ginette
Bonjour, c’est une chose que je ne pourrais pas faire, et je ne vous envie même pas ! je ne suis pas une baroudeuse ! je te souhaite un bon week end,
Bises du soir
Mireille du sablon
Bravo pour l’écriture du récit aussi, très agréable à lire, bravo !
A bientôt pour la suite
Bises
Bonne rando en Equateur
Merci Claude pour le partage de ces s aventures Thaïlandaises
Bonne journée
Bises
J’imagine la poussière sur la piste de latérite !
Un beau parcours devant mon écran et sans risque pour moi …
Merci pour le partage
Bises, bon week-end
Bonne soirée