Histoire : Deux moulins à farine, l’un rive droite, l’autre rive gauche, composaient le site hydraulique du Liveau mentionné pour la première fois en 1407. Jusqu’en 1561, Il était propriété des seigneurs de Clisson.
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1826, transformation du moulin de la rive droite en moulin à papier, activité plus prospère à cette époque, et construction du séchoir (étendoir) marqué dans son architecture par la forte influence italienne répandue à cette époque dans le canton de Clisson.
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1827, début de l’activité papetière dans le moulin On y fabrique de «gros papiers gris» ou «papier à enveloppes» (papier d’emballage) vendus aux raffineries de sucres de Nantes.
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1850, fin de l’activité papetière
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1851 à 1952, reprise de l’activité meunière.
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2001, rachat par la commune de Gorges du moulin laissé à l’abandon.
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2014, travaux de réhabilitation en vue d’une activité artisanale papetière, à but culturel et touristique.
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2015, ouverture au public
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Bonjour, j’en ai visité un il y a très longtemps; c’est une très bonne chose cette réhabilitation, et ça rapporte à la commune; je te souhaite un bon week end, bisous
Ta vidéo est très intéressante et bien expliquée, une belle découverte pour moi !
Ce moulin mérite une visite et en plus le cadre y est superbe !
Merci pour ton partage
Bises, bon week-end
car pas trop loin de chez nous … à voir à la belle saison.
C’est peut être désuet comme dit Lucky, mais ça marche très bien naturellement.
Un beau patrimoine qui a été réhabilité là.
Douce nuit et amitiés.
Bonjour Claude. Comme c’est bien d’avoir remis ce patrimoine comme point de mire. Et que dire du décor dehors par la fenêtre. Magnifique
Bon vendredi
Bises
Un beau patrimoine en tous cas.
Merci Claude pour cette vidéo
Gros bisous
Bonne journée
Je ne pensais pas qu’il pouvait encore en exister !
» Bonne fin de semaine avec un temps quasi hivernal.
Je vais me remettre en pause car mon doc ne peut rien faire pour mon dos et mes yeux, sauf me conseiller de les laisser se reposer.
On va attendre les résultats de l’ostéodensitométrie … en janvier !
J’ai le temps d’avoir mal avant de savoir à quoi m’en tenir et ensuite savoir à quelle sauce on va me mettre …
Gros bisoux et à … je ne sais pas quand.
Mais je passerais peut-être, de temps en temps, selon l’état de la machine. «