Ils vivent majoritairement en famille, et sont principalement propriétaires de leur logement. Le quartier dispose, aux alentours, de divers services et infrastructures de transport, de santé, d’éducation.
Eglise St Maurille
A l’origine, l’église Saint Maurille a été construite sur un lieu stratégique pour l’époque. Sur le plan géologique, elle repose sur un affleurement rocheux au milieu de marécages. Sur un plan commercial elle se situe près d’un franchissement de la Loire et d’un franchissement des vallées de l’Armangé et du Layon. Enfin, sur un plan religieux, elle se situe entre deux pôles païens, un oppidum vers l’est, un centre druidique important vers l’ouest.
Il y a plus de 100 ans, le train plongeait dans la Loire
Aux Ponts-de-Cé, les traces restent visibles. Des piles en pierre subsistent au milieu de la Loire, vestiges de la catastrophe ferroviaire d’août 1907 et ses 27 morts.
L’événement :
1907. En Anjou comme ailleurs, depuis plusieurs dizaines d’années, le trafic des chemins de fer s’est développé. Au détriment des transports à chevaux.
Mais, le 4 août 1907, un drame sans précédent va endeuiller la région.
Terminus prévu à Poitiers. Ce jour-là, le convoi s’ébranle avec sa locomotive de 40 tonnes, et les sept wagons. Arrivée prévue à Poitiers à 17 h. Après une halte à Trélazé le train et ses 280 voyageurs entre sur le pont Saint-Maurille. Aux Ponts-de-Cé, l’ouvrage en métal enjambe la Loire sur 576 mètres. Soudain, un craquement retentit, le sol du pont s’ouvre comme une porte au-dessus du vide. Les rails se plient et la locomotive et les 50 passagers du premier wagon sont précipités dans le fleuve. La chute, d’environ 10 mètres, va être fatale pour plusieurs dizaines d’entre eux. Dans l’eau, le fourgon et le wagon sont complètement submergés, disloqués. Heureusement, l’attelage entre le premier et le second wagon se rompt, et empêche le train entier de plonger. Dans le fleuve, des scènes de panique n’échappent pas aux témoins. À l’époque, peu de personnes savaient nager. Néanmoins, une trentaine fut sauvée, dont des enfants. Des badauds ont observé la catastrophe depuis le pont Dumnacus, situé en aval. La nouvelle se répandit rapidement jusqu’à Angers. Bilan : 20 blessés et 27 morts, dont un homme non identifié. Les principales victimes de l’accident habitaient Trélazé. Les ruines du pont suscitent toujours la curiosité des automobilistes qui traversent la Loire.
merci de ton passage sur mon blog
bises amicales
Ah mais tu filmes en conduisant, c’est autorisé ça ? je plaisante bien sûr, j’imagine que ta caméra est fixée et que toi tu tien bien le volant des deux mains ! lol !
Un village tranquille, cette église est jolie de l’extérieur mais en effet bien dépouillée et froide de l’intérieur !
C’est émouvant quand on regarde les ruines du pont de se dire qu’un train a plongé là …
Merci pour le partage
Bises, bonne fin de soirée
J’avoue que j’ai toujours une appréhension quand je traverse un pont en voiture ou en train.
Bises du jour
Mireille du sablon
Bon dimanche
Pour les débuts du train, c’était de mauvais augure.
Bon dimanche.
Bon dimanche à toi
Un village marqué par cette terrible catastrophe. Merci de nous donner tous ces détails. Bon dimanche