Béhuard, une île, un village : Petite Cité de Caractère

Béhuard, sanctuaire marial de l’île de Béhuard
~ Petite Cité de Caractère ~

Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, Béhuard est unique en son genre puisqu’elle est la seule commune à être une île sur la Loire. Seulement une centaine d’habitants habite ici en permanence et vit au rythme des crues. Le charme incontestable de Béhuard attire cependant une foule de visiteurs venus de toutes parts pour admirer la petite chapelle royale perchée sur un rocher, accomplir un pèlerinage au mois d’août ou tout simplement faire le tour de l’île à pied et flâner sur les grèves de la Loire.

accueil par une rue piétonne pavée …

échelle des crues significatives …

Béhuard,
l’île de la Loire

Curiosité naturelle enlacée par la Loire, l’île de Béhuard charme par la mixité de ses paysages. Les promeneurs profitent de son superbe circuit de balade et croisent les pèlerins venus honorer la Vierge. Sur une carte de France, Béhuard ne pèse pas bien lourd avec ses 2,21 km² et sa petite population (une centaine d’habitants). On ne parle donc pas de ville ici, mais bien de village. 

Un village de Maine-et-Loire qui renferme néanmoins quelques trésors que nous vous invitons à découvrir le temps d’une visite.

Un paysage panaché :

Quand les beaux jours s’installent, l’île de Béhuard se remplit de promeneurs venus profiter de cet environnement d’exception. Rives limoneuses, près gras, sous-bois secrets, grèves envoutantes; la palette de paysages de Béhuard semble sans limite. Un parcours en boucle de 9km a été tracé pour permettre apprécier la richesse de cette nature, le long d’un chemin balisé. Il est accessible à pied et à vélo. La balade ouvre à la fois sur les vignobles de coteaux de la Coulée de Serrant et les magnifiques boires (plans d’eau) du Val de Loire, inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.

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10 commentaires sur « Béhuard, une île, un village : Petite Cité de Caractère »

  • quel charme ce village, il doit faire bon y vivre, sauf en période crues peut-être…merci de cette jolie découverte
  • Les petites cités de caractère
    sont souvent agréable à visiter
    C’est tout le charme de ces petits village
    Quelquefois s’y niche de bons petits restos
  • Un site original que cette cité/île au charme indéniable….une vie tranquille quelquefois malmenée par les crues de la Loire….en ce moment, c’est plutôt le contraire….manque d’eau.

    Bonne soirée

  • J’espère que tu as la forme malgré la forte chaleur, je sort le matin et le soir pas au milieu de la journée ! Je te souhaite de passer un bon mercredi. Cordiales amitiés & à +

  • Merci pour cet agréable partage, je viens de découvrir un beau coin avec ton article . Passe une bonne et agréable semaine . Cordiales amitiés & à +

  • Une très belle vidéo qu’accompagne une belle musique ♪♪
    C’est bien agréable à regarder et écouter …
    Merci Claude et bon dimanche
    Bises
  • Dépaysement total pour moi que ne connais que les pierres jaunes, ocres du Sud, celles qui réléchissent la chaleur et Dieu sait qu’en ce moment, on s’en passerait bien et qu’un petit air marin serait réconfortant. Joli montage vidéo musical.
  • Belles découvertes ! Je voulais laisser un commentaire sur les Ponts de Cé, votre flânerie m’a d’autant plus intéressée que je n’y suis jamais allée alors que mon parrain y a longtemps tenu un restaurant !

    Merci de la promenade

    Cordialement

    Anne

  • J’ai habité en Anjou de 7 à 13 ans, une partie à Martigné-Briand, et l’autre moitié, à La Daguenière, vers les Ponts-de-Cé, tout au bord de la Loire. Le jardin de mon père allait sur le chemin qui longeait le bord de l’eau ! Il récoltait des légumes et des fruits énormes … surtout les asperges et les pommes-de-terre et les fraises ! Je ne connais pas tous ces villages des Mauges… mais quelques-uns quand-même, car on allait souvent à Cholet et Chemillé, en ce temps-là, on vadrouillait moins qu’aujourd’hui ! De super souvenirs pour moi que ces bords de Loire, surtout les matins à l’aube, où on allait très tôt avec mon père, sans dire un mot… et le soir, au soleil couchant, qu’on voyait pratiquement vers 23 h, au plus haut de l’année ! Et, bien-sûr, la douceur angevine !

    Gilbert d’Ahuy en Côte d’Or

     

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