Le labour à plat se pratique avec une charrue réversible. Les parcelles à labourer sont en forme de trapèze et d’une superficie de 10 à 16 ares pour les charrues bisocs, de 15 à 24 ares pour les charrues trisocs, de 20 à 32 ares pour les charrues quadrisocs. La longueur des sillons est comprise entre 60 mètres et 100 mètres et les largeurs des parcelles varient de 12 à 40 mètres selon le nombre de socs de la charrue.
Pour le labour à plat, l’apparence du labour n’est notée que sur 10 points et un critère vient s’ajouter aux huit précédents : la jonction des courts-tours et de la fourrière (régularité, rectiligne, propre…) sur 10 points.
Selon le spécialiste, le plus important est d’être rectiligne pour l’ouverture, pour les bandes de labour et pour la dérayure finale. L’apparence générale du labour est aussi un facteur important pour faire la différence.
Les candidats doivent respecter la profondeur définie par le président du jury, généralement autour des 20 centimètres. Si ce n’est pas le cas, des pénalités sont appliquées.
Le labour en planche se pratique avec une charrue simple. Les parcelles sont de forme rectangulaire. Leur longueur est comprise entre 60 mètres et 100 mètres et la largeur entre 20 et 40 mètres selon le nombre de socs.
Alors que les charrues autorisées peuvent avoir deux, trois ou quatre socs, il est conseillé « une charrue bi-socs, qui est plus adaptée pour les entrées et sorties et qui aura un rendu visuel plus intéressant ». Et on peut croire sur parole d’un expert du labour.
Pour le labour en planche, huit critères sont notés pour arriver à un total de 100 points : l’ouverture (droite, propre) sur 10 points ; les bandes de terre refermant le tracé (droites, uniformes, absence d’herbe) sur 10 points ; l’aspect de la raie de labour (propre, net, profondeur) sur 10 points ; les bandes de terre (rectiligne, uniforme) sur 10 points ; l’apparence générale du labour sur 20 points ; l’enfouissement des chaumes et de l’herbe sur 10 points ; la dérayure finale (droite, propre, étroite…) sur 20 points ; le terrage et déterrage (toute la parcelle est-elle labourée) sur 10 points.
Bonne soirée
Bonne soirée
PS – tes news arrivent en indésitabes depuis quelque temps???
bonne journée
Bises du jour
Mireille du sablon
C’était un vrai spectacle avec les chevaux. Je m’en souviens, chez mon cousin cultivateur et éleveur dans la campagne picarde. J’étais jeunette évidemment à l’époque mais cela m’a marquée à vie ! Je me souviens du ramassage du blé pour en faire de bottes, çà piquait mes jeunes gambettes !
Un bel article.
Bises
Bon dimanche.
maintenant ils ont des tracteurs avec cabines climatisées et automatisés, çà coûte
très cher et il n’y a que « les gros » qui peuvent les avoir…
belle journée à toi, ici très chaud déjà,
MIAOU !!!
Ils ont sorti les tracteurs de collection me semble-t-il ! Pas tout jeunes en tout cas pour la plupart !
Une manifestation originale et campagnarde, qui semble avoir attiré du monde !
Bon dimanche à toi