24e salon de Trélazé … par le Groupement Artistique Trélazéen …
(Seconde partie)
Le peintre Jean-Marie Zacchi, représentant majeur de la transposition figurative, en est l’invité d’honneur.
Trélazé, Anciennes Écuries. La, vice-présidente du GAT, le président du GAT, le député-maire et le directeur des affaires culturelles de la Ville, ont visité l’exposition. L’invité d’honneur Jean-Marie Zacchi y présente 19 toiles.
Histoire des anciennes écuries de Trélazé 49
La ville de Trélazé s’appuie sur son riche patrimoine industriel pour développer son offre culturelle et s’est engagée plus spécifiquement dans la promotion de l’art contemporain. Elle dissémine sur son territoire des sculptures pérennes et pratique une politique d’acquisition d’œuvres et de commandes très volontariste.
j’aime ce lieu “unique” en Anjou ! …
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Depuis 1996, la ville présente sa collection et organise des expositions aux écuries de Trélazé, ensemble de bâtiments construits à la fin du XIXe siècle en plein cœur de son site de production ardoisier. Ils servaient initialement d’écuries aux chevaux chargés de transporter les wagonnets au fond de la mine et entre les différents ateliers de transformation de l’ardoise. L’ensemble est construit en schiste et couvert d’ardoises. Il est composé de trois bâtiments accolés, résultant sans doute d’extensions successives. Chacun des bâtiments avait une fonction spécifique : … |
… l’écurie proprement dite avec les stalles pour les chevaux, une zone de déchargement comportant un chemin de fer en partie centrale, et une zone de stockage des remorques et du matériel roulant propre à l’exploitation ardoisière.
Ces écuries sont les témoins du riche passé industriel de Trélazé. En 1406, la carrière de Tire Poche (première connue dans la région) ouvre dans la commune, suivie par celle du Bouc Cornu en 1457. Elles produisent une excellente ardoise choisie plus tard pour couvrir les toits du château de Chambord. Au fil des ans, les carriers creusent plus de 30 carrières.
Jusqu’au milieu du XIXe siècle, Trélazé reste un gros bourg mi-ouvrier mi-paysan. Le développement de l’industrie ardoisière avec ses nouvelles méthodes d’exploitation, et l’établissement d’une manufacture d’allumettes en 1864, appellent une main d’œuvre nouvelle. À partir des années 1960, la crise frappe de plein fouet les deux pôles industriels de la ville : licenciements massifs aux ardoisières jusqu’à l’arrêt de la production en 2013, et fermeture de la manufacture d’allumettes, alors première au niveau national en termes de production.
Laissez-moi un commentaire ! … Merci …
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Bisoux, claude
Ce soir est donc sûrement le dernier, (où je serai libre) avant le départ des enfants vers le 30/12.
J’espère que tu passeras de belles fêtes, quoi qu’elles représentent pour toi.
Je t’espère en la meilleure forme possible et souhaite que malgré la morosité que pourrait engendrer la situation autour de nous ou plus loin, tu puisses garder l’espérance au fond du cœur.
Que Noël t’apporte joie et bonheur familial, dans la paix.
Avec toute mon amitié
JOYEUX NOËL.
Bisoux, claude
Je me régale avec cette exposition. j’aime un bon nombre des oeuvres que tu as pris en photos.
Allez j’y retourne !
Je te souhaite un bon dimanche
@+
Chronique.
Es-tu sot, quand même … pffff
Bon dimanche … en attendant … le mois de janvier.
Bisoux, claude
Bonjour Claude. Plusieurs œuvres sont très belles. Merci de nous les présenter. Et j’en profite pour te souhaiter un Joyeux temps des Fêtes.
GinetteD
Je ne connaissais pas ce peintre, j’aime certains de ses tableuax mais pas tous.
Je ne suis pas une inconditionnelle 🙂
Bonne fin de semaine.
très intéressant, merci du partage,
belle soirée, MIAOU !!!
Pour les oeuvres, certaines le sont aussi, d’autres beaucoup moins, à mon goût, hein …
Mais ça doit être très intéressant à voir.
L’emplacement est original, lui aussi.
Bon week end … au chaud si possible …
Bisoux, claude
Bonjour d’Angers …
Ah bon ! ! !
Bonne journée … Amicalement … ¢ℓαυ∂є