Après les jardins d’expression visitons le parc du château et l’exposition …

Nous avons pu admirer l’élégance des jardins et du château construit en 1776 dans une atmosphère bucolique. C’est aussi le parfait lieu pour que les enfants se défoulent : tout est prévu pour passer un bon moment en famille. Pour ceux qui aiment les grands espaces, le domaine de Pignerolle est un incontournable. En y allant dès le matin ou en fin d’après-midi on peut avoir, peut-être, la chance d’y croiser des chevreuils.

l’élégance des jardins et du château …

L’Espace artistique de l’Anjou

Trois salles d’exposition :
– La verrière de cent cinquante mètres carrés est idéale pour les vernissages. Elle est aussi dévolue à l’accueil du public, aux renseignements sur l’exposition en cours, aux documents laissés par nos sponsors et soutiens, à la réception éventuelle de groupes de visiteurs. Elle comprend un espace de quarante mètres carrés situé entre le corps de la verrière et les salles d’exposition, permettant aisément cet accueil. On peut y exposer certaines installations ou sculptures volumineuses, mais, n’étant pas sécurisée, il est déconseillé d’y exposer les petites sculptures.

Deux salles au coeur des dépendances (176 mètres carrés), qui communiquent entre elles par une très vaste ouverture : la grande a une surface de 113 mètres carrée et la petite de 63 mètres carrés; elles sont équipées de cimaises et de spots pour mettre en valeur les oeuvres : 50 mètres linéaires d’exposition/ hauteur d’accroche des cimaises : 3 mètres (de la cornière au sol) / 30 spots orientables / possibilité de mettre des sculptures au centre de ces salles.

La verrière : l’ancienne génératrice électrique, une curiosité qui donne son caractère irremplaçable au site et qui fait son identité.

À Saint-Barthélemy-d’Anjou, la céramique en fête à Pignerolle …

« Vous ne verrez jamais un potier invité dans un salon. Les salons sont réservés aux sculpteurs », déclare Hélène Hiribarne, à l’initiative du week-end céramique des 21 au 23 juin. Pourtant, que l’on soit potiers ou sculpteurs, « la base du travail est la même. L’attrait de la terre, le modelage, sont une passion pour tous. Après, on fait ce qu’on veut de nos mains ».
Alors, faisant fi des querelles de puristes, elle a décidé d’inviter des céramistes rencontrés au hasard d’expositions. Onze ont été sélectionnés.
Les visiteurs ont pu ainsi s’émerveiller devant le vase bleuté d’Agnès Girard, la banquise de Benoît Pouplard, le chat bleu de Catherine Mera, les guerriers chinois d’Hélène Hiribarne, le bonze de Lise del Medico, le portrait de Johnny Hallyday de Monique Piré ou la coupe cuivrée de Gianbattista Ferraglio. Des œuvres uniques, magnifiques, jouant avec les formes, les couleurs, les transparences, sublimées par la maîtrise de la cuisson et de l’émaillage. Un talent commun à tous.

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